• Le projet Exodus est lancé.

    Que je vous explique...
    Exodus comme... départ. Départ de quoi ? [mysmallcompany].
    J'en ai marre que les choses changent pas.
    J'en ai marre d'être vu comme un guignol de la qualité (j'apprends avec deux jours de retard qu'étant en rupture de stock, on a perdu la traçabilité de nos d********** m******* parce qu'on usine des trucs non traçables, mais que pour ne pas avoir à fermer les portes on tait la chose.
    Une dérogation aurait été si simple...
    Me prévenir aurait été si facile...
    Alors pour pouvoir regarder les autorités en face quand je leur réponds, pour pouvoir ME regarder en face, je me cherche une autre job.

    Ca risque d'être long, car je vais faire la fine bouche, mais ma décision est prise.
    Je vais perdre les voyages en Gaule gratos... sans doute.
    Mais combien vaut mon honnèteté ?

    J'ai toujours dit que personne ne m'achèterait ? C'est le moment de le démontrer.

    Et comme dirait Berni : " Allez ! Chantes avec moi..."

    "Je crache à la gueule de tout ce système, quand je marche dans la rue je ne porte pas d'emblème. Je vais où je veux, je pense comme je veux. Pas de pression j'crache à la face des nations. Mes fréquentations ne regardent que moi, etc.etc.etc."
    Les plus vieux auront reconnus.
    les plus jeunes iront ici


    Rebelle ? Affirmatif.
    Béru ? Affirmatif.
    Si j'aime ça ? ... no comment.


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  • J'ai envie de voyage.
    De voir des paysages.
    Des paysages de campagnes, des montagnes, la mer, des plages, des forêts.
    Partir... et avoir le Temps comme allié.
    Partir... et être prêt à avoir la solitude comme compagne.

    J'ai envie de me chauffer la peau au soleil sur des chemins à découvert, les matins d'hiver.
    J'ai envie de dormir à l'ombre du couvert des arbres, les après-midi d'été.
    J'ai envie de boire l'eau des ruisseaux, et voler des légumes, la nuit, dans les potagers des villages endormis.

    J'aurais du naître nomade, gitan, berger.

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  • Dernièrement, CodexMystery racontait qu'un intervenant lors d'une table ronde à laquelle elle-même était invitée était pas mal dans le genre cadavre et soulignait gravement qu'il faisait de la qualité.
    Bon.

    J'ai trouvé ce qui suit sur le net pour démontrer qu'en Qualité, même si on veut bien penser à tout, il y a toujours des choses qui peuvent... décourager !

    --------------
    Last week, we took some friends out to a new restaurant, and noticed that the waiter who took our order carried a spoon in his shirt pocket. It seemed a little strange. When the busboy brought our water and utensils, I noticed he also had a spoon in his shirt pocket. Then I looked around saw that all the staff had spoons in their pockets.

     

    When the waiter came back to serve our soup I asked, "Why the spoon?"

     

    "Well, "he explained, "the restaurant's owners hired Andersen Quality Control to revamp all our processes. After several months of analysis, they concluded that the spoon was the most frequently dropped utensil. It represents a drop frequency of approximately 3 spoons per table per hour. If our personnel are better prepared, we can reduce the number of trips back to the kitchen and save 15 man-hours per shift."

     

    As luck would have it, I dropped my spoon and he was able to replace it with his spare. "I'll get another spoon next time I go to the kitchen instead of making an extra trip to get it right now."

     

    I was impressed. I also noticed that there was a string hanging out of the waiter's fly. Looking around, I noticed that all the waiters had the same string hanging from their flies. So before he walked off, I asked the waiter, "Excuse me, but can you tell me why you have that string right there?"

     

    "Oh, certainly!" Then he lowered his voice. "Not everyone is so observant. That QA firm I mentioned also found out that we can save time in the restroom. By tying this string to the tip of you know what, we can pull it out without touching it and eliminate the need to wash our hands, shortening the time spent in the restroom by 76.39 percent.

     

    I asked "After you get it out, how do you put it back?"

     

    "Well," he whispered, "I don't know about the others, but I use the spoon!"
    -----------

    Bien sûr, c'est une joke, mais on frôle parfois ce genre de situations... Ca peut user...


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  • Le ciel est gris perle. Uniforme. Il tombe une neige fine, poussée par le vent, depuis ce matin.
    Il n'y a pas de lumière. Juste une sorte de clarté pâle et froide. Humide. Organique, mais morte.

    Ce midi, la réceptionniste-qui-n'aime-pas-parler-au-téléphone m'a parlé de la France, me parlant de son voyage, du Jura, des Landes, etc. J'aurais fait n'importe quoi pour qu'elle se taise, mais je suis quelqu'un de poli. J'ai écouté distraitement, à hocher la tête et sourire à ses souvenirs, la tête ailleurs. Dans mes souvenirs. Ceux un peu vagues d'arbres et de plages, de montagnes et de villages.
    Et je me rends compte, comme à chaque fois, qu'un souvenir d'arbre, de plage ou de village ne ressemble pas à la réalité. Il y a suffisamment de différence pour faire venir un peu d'amer dans la bouche. Un décalage cruel.
    Et le constat s'impose : une photo ne rend honneur à rien. Il manque trop d'éléments, comme les bruits, les odeurs, l'ambiance, le "mood", etc.
    Un souvenir... c'est pareil. Il ressort tordu, édulcoré, délavé. Il ment.

    Et si on ne peut plus se fier sur nos souvenirs... il reste quoi ?


    P***** de vie.


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  • Ah lala que ça va mal dans [mysmallcompany] !
    Le Petit Cravaté qui est supposé faire les ressou*ces hum*ines traine tellement les pieds que les candidats, quand on les appelle, se sont déja trouvé un travail, les commandes qu'on passe... le fournisseur ne les reçoit pas alors que le fax dit qu'il a reçu, et ReveK, au milieu de tout ça, doit écrire des procédures et des instructions pour clarifier que "les commandes doivent être suivies d'un appel au fournisseur pour s'assurer qu'il a bien reçu la commande."
    D'autres, plus radicaux, me réclament de rajouter "Et un mail !". Un appel au téléphone PLUS un mail !...
    A noter que les radicaux sont (presque) ceux par qui le problème existe...

    Quand au Petit cravaté, des mois qu'on me promet son départ. Les choses avancent néanmoins : on cherche des candidats, on ne passe plus par lui. Hallucinant de voir comment certains peuvent avoir des positions et des salaires dans des compagnies (small ou pas, en passant), et qui ne font rien. Au su de tous.


    Je sais pas mais... j'ai comme un coup de faiblesse, moi.

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